(voir tous les articles sur le même thème : Préampli MM 2 bandes)
Le circuit imprimé correspondant (vu de dessus – coté composants), dessiné dans DesignSpark PCB 6 :
Vue 3D:
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Le circuit imprimé correspondant (vu de dessus – coté composants), dessiné dans DesignSpark PCB 6 :
Vue 3D:
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Le circuit entré dans le simulateur LTSPICE, avec les éléments externes nécessaires pour l’opération sans pile (le potentiomètre de tonalité passive « Tone », interrupteur U1/U2, résistances R6 et R7
pour le potentiomètre des aigus
pour le potentiomètre des basses
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C’est un préampli devenu maintenant une grande classique, crée par Leo Fender quand il était encore au commandes de Musicman, pour la basse Stingray.
Ce préampli est conçu pas comme les autres, il n’est pas « neutre », il modifie beaucoup le son du micro et son schéma est tout sauf conventionnel. M. Fender n’a suivi aucun standard de toute évidence, d’ailleurs le schéma peut être sans doute considéré « peu optimal » ou même « erroné » par un électronicien professionnel. Mais c’est exactement ça qui fait son charme et son timbre inimitable et recherché.
Je vais donc fabriquer ma version, appuyé par les demandes de quelques amis bassistes. D’autres copies existent déjà (on peut en trouver sur ebay), mais comme j’aime bidouiller…
Je pars de ce schéma, dessiné il y a longtemps par bajaman.
Je vais rajouter dans ce schéma un switch actif/passif et une tonalité passive, pour permettre le fonctionnement de dépannage sans pile. La version originale est 100% dépendante de la pile et ne peut pas être utilisée sans.
C’est mon premier instrument construit de A à Z, il y a presque 10 ans déjà (courant 2005)
J’ai appelé cette basse « Zebra » auprès de bois de son corps, Zebrawood ou Zebrano, avec ces bandeaux contrastés très caractéristiques.
Comme je disais déjà, la seule pièce manquante est la fausse éclisse qui permet de tenir la contrebasse à la bonne distance de son corps et avec la même inclinaison qu’une « vraie » contrebasse acoustique.
Elle devait s’emboiter dans ce trou (la vis papillon ne s’est pas perdue, elle, un vrai miracle!)
Alors, une petite augmentation de diapason: il passe de 28″ à 28.59″.
Pourquoi cette drôle de valeur? C’est simple: ce diapason correspond au frettage pour le diapason de 34″ avec 3 premières frettes enlevées, et j’ai déjà en stock une très belle touche en Pao Ferro préparée pour le diapason de 34″ 🙂
Cette basse a été conçue avec et pour Sven, un bassiste Picard et un bon ami 😉 Le projet a duré à peu près une année: démarré en 2012 et terminé en 2013.
On a parti du design de la Ignis, en l’adaptant aux besoins, ces spécifications principales sont:
Le dernier dessin avant le début de la fabrication:
Quelques étapes de fabrication en images (vous pouvez voir la totalité des images prises à visualiser dans cet album flickr: Ignis 3)
C’est une basse – assemblage de pièces disparates accumulées sur plusieurs années. Dans son premier incarnation en tant qu’un instrument jouable, elle est constituée de:
Elle manquait toujours un peu de personnalité pour moi, était un peu trop « gentille » mais très confortable.
D’autre part, j’avais dans mes tiroirs un micro qui ne foutait rien à part prendre de la place, un gros humbucker Fender Telecaster, prélevé d’une basse Squier Vintage Modified TB:
Il était difficile d’éviter la tentation d’installer ce micro n’est-ce pas!
Framus était un de tout premiers fabricants dans le monde à proposer dans son catalogue une contrebasse électrique, une Framus Tripumph. La production a commencée dans des années 50 et les différentes version étaient fabriquées jusqu’aux années 1980… (Plus de détails dans le Framus Vintage Archive)
Depuis 10 ans, Warwick fabrique à une nouvelle version moderne portant le même nom: Warwick Series – Triumph. Une variante « low cost » de cette contrebasse est aussi fabriquée: Rockbass Triumph.
Ma contrebasse appartient à la deuxième version, fabriquée entre 1960 et 1970 environ. Elle est entièrement d’origine (électronique compris!), même le pied de support original est présent. Le seule accessoire manquant est la fausse éclisse qui stabilise sa position et permet d’avoir l’instrument tenu à une bonne distance de son corps, je vais la fabriquer moi-même. Il faudra aussi démonter les mécaniques pour ressouder les clés qui ne tiennent plus très bien et vibrent sur leurs tiges.
Quelque part dans le passé la tête a été cassée (une chute sans doute?) et rattachée au manche à l’aide des vis et d’une platine métallique. Le travail a été assez mal fait mais ça tient pour l’instant, je vais laisser comme ça pour l’instant et surveiller attentivement les signes de défaillance s’ils arrivent.
Quelques photos:
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Quelques photos montrant son état d’origine:
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